Round 3 - Snetterton [April 6th]

EVENT SCHEDULE (all times CET, Paris time)

Wednesday April 6th :

8:00pm - Qualifying session (60 minutes, unlimited number of laps)
9:00pm - Warm Up
9.15pm - Race start, 30 laps (password : hso72)

Thanks for pointing out your presence/absence in this thread.


ENTRY LIST

#1 Ben Paulet (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#2 Carl Larrad (5.0 Surtees-Chevrolet TS11)
#5 Carlo Pozzi (5.0 Elfin-Repco MR5)
#10 Pierre Pfleger (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#12 Guillaume Siebert (5.0 McLaren-Chevrolet M10B)
#14 Grégoire Goissen (5.0 Surtees-Chevrolet TS8)
#25 Antoine de Mautor (5.0 Matich-Repco A50)
#28 Arnaud Plum (5.0 Elfin-Repco MR5)
#33 Frank Verplanken (5.0 McLaren-Chevrolet M18)
#34 Yannick Lampure (5.0 Surtees-Chevrolet TS11)
#35 Jean-Philippe Campmajo (5.0 Surtees-Chevrolet TS8)
#37 Thomas Gatschnegg (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#41 Jean-Louis Petillot (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#43 Steve Parker (5.0 Chevron-Chevrolet B24)
#44 Patrick Marucco (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#48 François Besançon (5.0 McLaren-Chevrolet M18)
#49 Jon Hawkins (5.0 Surtees-Chevrolet TS11)
#50 Gérard Ryon (5.0 McLaren-Chevrolet M18)
#51 Stéphane Bordignon (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#52 Jean-François Bovy (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#57 Ludovic Tiengou (5.0 Surtees-Chevrolet TS8)
#75 Yves Plaçais - Absent (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#77 Vincent Beretta (5.0 Lola-Chevrolet T300)
#81 Rémy Lampure (5.0 McLaren-Chevrolet M18)
#94 Philippe Martinelli (5.0 Lola-Chevrolet T300)

Présent...et présentation demain...j'ai pas fini mes recherches sur Snetterton

Présent

présent et pourquoi pas tenter la passe de 3

présent !

Présent...

Présent et hâte d'y etre, j'aime beaucoup le tracé.

Super chrono Vincent

La F5000 quitte les Midlands pour un retour dans le sud de l’Angleterre. C’est ainsi au nord est de Londres à 19 kms de Norwich dans le comté de Norfolk que vont se retrouver les pilotes du championnat d’Europe.
C’est sur la piste de Snetterton que nos vaillants compétiteurs vont s’affronter cette fois ci. Nouveau changement de décor donc à plus d’un titre.
Nous avions eu le droit à un terrain de motocross et à un hippodrome. Cette fois ci nous allons rouler sur un très grand classique des pistes britanniques : la base aérienne décommissionsée. En effet Snetterton Heath fut, à ses débuts, une base aérienne construite en 1942. Elle servira à partir de juin 1943 à abriter le 96th Bombing Group de l’US Air Force qui mena, à partir de Snetterton, des raids au-dessus de l’Allemagne Nazi à bord de ses B-17 Flying Forteress jusqu’à la fin de la guerre.
La base fut abandonnée en 1948 et racheté en 1952 pour servir de piste de courses pour les motos. Il faut attendre 1954 pour qu’une première course automobile y soit tenue. La piste va devenir assez rapidement un incontournable des championnats voitures de Grande Bretagne grâce, entre autre, à son statut de piste d’essais du fameux Team Lotus. Après les gros 9 cylindres en étoile Wright Cyclone du B17 ce sont des V8 Chevrolet et Repco qui vont se faire entendre durant cette troisième manche
Snetterton est une piste qui a beaucoup évolué au fil des années et ne présente plus, de nos jours, qu’une lointaine ressemblance avec la piste originale. Celle que nous utiliserons dernière est d’ailleurs d’une simplicité biblique. Néanmoins ce n’est pas le tracé existant en 1972. Nous utiliserons le tracé plus direct de 1964 qui fut modifié en 1967 avec l’ajout d’une portion plus sinueuse dans sa dernière partie pour casser un peu la vitesse. Le tracé de 64 n’est pas une première en HSO. Il fut en effet utilisé dans un des tout premiers championnats de la ligue. Il fut en effet le théatre de la troisième manche du BSCC 1965 (en 2009) et qui vit la victoire de JP avec une Austin Healey.
C’est donc, comme je l’ai dit, une piste issue d’une base aérienne (un grand classique en Grande Bretagne). D’ailleurs quand on voit une photographie de la base aérienne et qu’on le compare au tracé on se rend vite compte que les concepteurs ne se sont pas beaucoup foulés. Les pistes forment un triangle. Ils ont tout simplement repris les trois pistes principales et les ont reliés entre elles avec deux bretelles. Au final sur ce circuit, quand vous avez un long bout de droit, vous savez qu’il vous faut vérifier les flaps, demander à l’équipage d’adopter la position de décollage et mettre les gaz en espérant que vous allez bien décoller…euh non pardon je me suis trompé de date. Enfin bref les trois lignes droites de la piste sont en fait tout simplement les anciennes pistes d'atterrissage. En fait du moment où vous sortez du V3 jusqu’à ce que vous passiez sous la passerelle vous suivez en fait les tarmacs de l’ancienne base aérienne (ce qui représente presque plus de la moitié du tracé…c’est pas rien). Du fait aussi de cet héritage aérien la piste dispose d’un relief….comment dire… ben comparé à Snetterton, Mallory Park était un circuit de montagnes russes. Ici c’est tout plat, tout lisse, tout beau. C’est à peine s’il existe quelques imperfections sur le bitume. Pas de risques donc de faire racler la coque même en l’abaissant au maximum. Par contre, comme à Mallory Park, il s’agit d’une piste vraiment simple. Il n’y a que 7 virages (et encore deux d’entre eux sont des courbes rapides qui se passent sans lever le pied) reliant entre elles trois lignes droites (les fameuses pistes de décollage).

D’ailleurs il est temps d’embarquer et d’aller faire le tour de Snetterton.
Tout commence par une longue ligne droite. On monte toute la boite et on arrive au V1. Ce dernier est certainement le virage le plus délicat de la piste. Ce n’est pas le plus lent mais c’est un virage qui se referme progressivement et qui est aussi en aveugle. Quand on y entre on ne voit pas le point de corde ni la sortie. L’entrée apparaît ainsi très rapide. Mais si on oublie de freiner on va vite se retrouver en mauvaise posture avec une voiture qui va partir dans l’herbe à l’extérieur. Heureusement il n’y a pas de réels obstacles à cet endroit. Oh certes vous allez sauter un talus mais rien de bien grave hormis une perte de temps massive. C’est aussi un virage assez technique car il faut freiner en appui dans la courbe. Ce qui, avec les F5000, est loin d’être une partie de plaisir. C’est un coup à prendre mais si vous le ratez, vous allez laisser beaucoup mais alors beaucoup de temps dans l’affaire. Attention aussi à ne pas ré accélérer trop tôt sinon…ben jardinage (pourtant le gazon anglais n’en a guère besoin). Bref beaucoup de glisse à prévoir et, pour les moins chanceux, beaucoup de toupie.
S’ensuit une courte ligne droite (ce qui est une sorte d’anomalie quelque part ici) puis un virage à gauche à 90°. Là encore il y a un gros freinage à bien négocier. Car ce V2 est un des points les plus stratégiques de la piste. Il condition en effet la très longue ligne droite qui va suivre. Rien de bien difficile ici si ce n’est qu’il ne faut pas plonger trop tôt à la corde.
On en sort et là on doit enquiller toute la boite pour atteindre la zone rouge. Sauf qu’il y a un petit virage à gauche qu’il faut négocier. Oh il n’est pas bien difficile car il se prend à fond. Mais si on se trompe dans la trajectoire on a une jolie surprise à la sortie. En effet à la sortie, il y a là un poste de commissaire…priseur. Si vous vous ratez sur la trajectoire vous irez leur dire un petit bonjour. Et, pour vous remercier, ils vous garderont qui un aileron avant, qui une roue, qui les deux.
Une fois passé ce kink on peut alors se griser de la vitesse et l’on voit arriver petit à petit le bout de la piste. Et là, en général, on freine un peu trop tard pour l’épingle.
Enfin cette épingle c’est pas non plus Shaw’s comme à Mallory ni Druid’s comme à Brands Hatch. La piste est large à cet endroit (ben oui fallait qu’un B17 de 32 mètres d’envergure puisse rouler dessus en toute sécurité). On peut donc se louper en peu en entrée ou en sortie ou au point de corde ou partout et tout de même repartir sans casse. Bon ceci dit il vaut mieux ne pas se louper car on attaque alors une nouvelle looooooooooooooooooongue ligne droite. Et on a vite fait de perdre beaucoup de temps à la moindre erreur.
Au bout de cette ligne droite on va alors arriver sur la partie « technique » de la piste. On arrive sur un gros freinage qui se prolonge en appui. On retrouve le V1 pour un moment. Avant de se rendre compte que ce virage à gauche est beaucoup plus court et surtout beaucoup plus piégeux. C’est une fois encore un virage en appui. Mais là pas question de se louper car sinon c’est une passerelle qui vous attend. Et là c’est 50-50. 50% de chances de perdre l’aileron avant-50% d’abandonner…sympa comme choix non ?
Mais en fait d’un virage c’est plutôt un pif paf gauche droite. Il ne faut donc pas se louper dans le premier sous peine de peiner dans le second. Second d’autant plus important qu’en sortie on va recommencer une loooooooooooooongue ligne droite. Enfin pas tout de suite car il y a une nouvelle enfilade (droite gauche ce coup-ci). Mais elle est beaucoup plus rapide que la première. Le gauche en particulier se prend à fond si l’on a bien placé sa voiture. Et là on revient sur la ligne droite des stands.

Comme on le voit rien de bien difficile. Snetterton n’est pas ce qui se fait de plus difficile au monde. On l’apprend très vite. Mais comme à Mallory on a souvent du mal à trouver le petit plus qui fera la différence aux essais. Contrairement à ce que l’on pense doubler ici ne sera pas facile. Les virages sont souvent mono trajectoires. Le meilleur point c’est l’épingle à n’en pas douter. On peut aussi tenter au bout des deux autres lignes droites. Mais le coté très technique des virages qui suivent peuvent rendre la manœuvre un tantinet délicate. Cela reste néanmoins possible.
Snetterton est le premier vrai circuit rapide de la saison. Nous devrions donc voir quelques petits changements dans la hiérarchie entrevue depuis le début de la saison. Ici il faut de la puissance et un châssis léger. Les Chevrolet Morand et Smith vont pouvoir pleinement s’exprimer (les Bartz, CRM et Molloy aussi dans une moindre mesure). DU coup l’œil regarde les Morand, les Smith couplé à des chassis légers pour la course. Bon je vous laisse regarder mais certains noms ressortent d’un coup. En plus ces noms nous doivent une revanche vu leur début de tournée européenne assez calamiteuse.


For our non french reading mates just wait a couple of hours...english version is following

Ludovic Tiengou wrote:

S’ensuit une courte ligne droite (ce qui est une sorte d’anomalie quelque part ici) puis un virage à gauche à 90°.

une petite erreur si ma mémoire est bonne le V2 est un virage a droite sinon sympa la présentation

Greg Goissen wrote:

Ludovic Tiengou wrote:

S’ensuit une courte ligne droite (ce qui est une sorte d’anomalie quelque part ici) puis un virage à gauche à 90°.

une petite erreur si ma mémoire est bonne le V2 est un virage a droite sinon sympa la présentation

Oops mon Altzheimer a encore frappé ma foi...enfin plutôt ma difficulté à reconnaitre ma droite de ma gauche

And now the english version

The F5000 leaves now the Midlands for a return in South England. It’s now north east of London, 19 miles from Norwich in the Norfolk County the drivers of the European Championship will meet again.

It’s on Snetterton tracks our brave challengers will fight this time. New change of stage in many ways then.
We were given a motocross track, a racetrack. Now we’re going to race on one of biggest classical track types in Great Britain: decommissioned airbase. Snetterton Heath was, at his start, an airbase built in 1942. It served from June 1943 as a shelter for the 96th Bombing Group of the US AirForce which run, from Snetterton Heath, raids over the Nazi Germany with their Flying Fortress B-17 until the end of the war.
The airbase was dropped in 1948 and bought in 1952 to build a race track for motorcycle. It’s not until 1954 the first cars race is attended there. The track will soon became a “must be” in every national championship thanks, among other thing, its status of trial track for the famous Team Lotus. After the big 9 radial turbosupercharged Wright Cyclone of the B17, it’s now V8 Chevrolet or Repco which will roar during these third stage.
Snetterton is a track which greatly changes over the years. It doesn’t anymore present the same layout now as at its origins. The one we will use is of a biblical simplicity. Nevertheless it’s not the layout used in 1972. We will use instead the faster one of 1964 modified in 1967 with the addition of a more twisty final portion. Like Mallory Park, Snetterton 1964 will not be a first use in HSO. It was used in one of the first championships ever in the league. It was the theater of the third stage of the British Saloon Car Championship in 2009 seeing the victory of JP on Austin Healey. .
So I’ve said, it a track based on an airbase layout (something quite classical of British race tracks). Indeed when you saw aerial picture of the airbase and compares it to the track sketch, you realize the designers don’t do much of a work. The landing track formed a triangle. They just took back those and connected them with two slip roads. Finally on this track, when you see a straight, you know it’s time to check out flaps, ask the crew to attend take off position and put full gas praying to take off without problems. …ooops sorry we’re no more in 1944. So the three straights of the track are just the old runway of the airbase. In fact from leaving the T3 until you run under the footbridge you just follow the old runways of the former airbase (almost half of the track …that’s something). Legacy of this former life the track is also…how to say it…well compare to Snetterton, Mallory Park is a dreaded roller coaster. Here all is flat and neat. There’s almost no imperfection on the asphalt. You don’t have to worry then about ride height event lowering it as low as possible. As at Mallory Park it’s also a very simple track to learn. It has only 7 corners (and two of them are just kink to be taken flat out) connecting three straights (the famous runways).
Speaking of it it’s time to go for a ride on Snetterton, don’t you think?
All start with a long straight. It’s up to 5th gear there and here come T1. That one is almost certainly the trickiest of the track (but not the more dangerous). It’s not the slowest but it’s a corner which closes progressively and is also blind. When you enter in it you do see neither the apex nor the exit. The safe way to enter seems to arrive there fast. But if you don’t brake soon enough you’ll get into trouble with a car starting to mow the lawn on the outside of the track. Fortunately there’s no obstacle there. Well you will jump a small embankment (back to racetrack? Missing Mallory Park then…lol) but nothing dangerous for the car. You’ll just loose huge amount of time there. It’s a technical corner as you have to brake while turning. And doing that with F5000 is neither really very easy nor fun (unless you master it of course). It’s a trick to handle but do any mistake and you’ll lose a hell of time. Beware also not to re accelerate too soon. If you do so…well have you think about reconversion in gardening? In short, control drifts are to be seen there so does spin for the unlucky guys.
Next comes a short straight (quite an oddity) then a right 90° corner. Again a huge braking to negotiate. The T2 is one of the most strategic points of the track. It conditions the longest straight following. Nothing very difficult in that corner but beware not to dive on the apex too soon.
You’re out of it and now it’s up in the gears till red line. But there’s a little left kink to negotiate. Well it’s not a hard one and could be taken flat out. But, if you do a mistake in trajectory, you’ll get an nice surprise on the exit. There’s indeed there a small office of marshals…from Customs Office. Miss the trajectory and you’re going to say hello to them. And to thank you for your visit they will keep a souvenir either front wing or tire or both.
Once you let the kink behind you could know enjoy the speed you’re taking. You see the hairpin coming but it’s so far away. And then, oooppss, usually you start to brake a bit too late.
But this hairpin is neither Shaw’s from Mallory nor Druids from Brands Hatch. The track is wide there (normal it has to be wide enough for 32 meters span B17 to land on it safely). So you could do mistakes there either on entry, apex, exit or all of them without getting yourself in too much trouble. Well don’t try although to do it at all laps as you’re about to run down another loooooooooooooooooog straight. And the slightest mistake here is a time killer.
At the end of the straight you attack the “technical” portion of the track. As in T1 the braking is done while turning. So you think you’re going to reenact that one. It’s a big mistake as this one is a lefty shorter and far more dangerous. No way to do any mistake here as a footbridge is waiting you on the outside. Hit it and you’ve got a 50-50 bargain: 50% car out of order 50% front wing out of order. Nice choice isn’t it?
That corner is in fact part of a corner row (left right). Don’t mess up with the first part as you’ll be forced to brake for the second. And as that one conditioned another loooooooooooooooooooooooong straight you should want that to happen, do you? Well the straight isn’t right behind. There’s a new corner row to handle (right left there). But that one is faster than the first. The left one should be taken flat out if you’ve managed to handle the right precisely. And there comes again the pit straight.

As you see nothing really difficult. Snetterton isn’t the trickiest track on the world (it’s far from indeed). It’s a fast learning one. But, as at Mallory, it’s also difficult to master to reach the perfect time in qualifications which will be essential. Because it’s not so easy here to overtake. The corners got mostly only one trajectory. The best spot is the hairpin (sound Mallory Park). You could also try on the braking of the long straights. But, well, the following corners are really difficult to handle and could complicate a lot the attempt. But with guts, nerves and good handling of the car you could be able to succeed.
Snetterton is the first real fast track of the season. So we could see some change on the hierarchy arise from the start of the season. Here you need power and light frame. The Chevrolet Morland and Smith could express their qualities at best here (so will the Bartz, the CRM and Molloy but in lesser ways). So the eyes start to look upon combination of Morland or Smith with light frame to find the potentials winners. Let do the test and you’ll see name. And those names owe us revenge as their start of the European Tour is quite calamitous.

Merci pour le topo Ludo, c'est toujours aussi agréable à lire

Nice one Ludo nice write up and very interesting ...

THX For the English translation

Nearly forgot ...Present

Absent

Présent!

présent !!

Patrick Marucco wrote:

Super chrono Vincent

Merci, mais ça va pas durer ...

présent

Je crois qu'il n'y a pas de serveur F5000 en ligne. Pourriez vous vérifier svp ? Merci.

Présent

Pierre Pfleger wrote:

Je crois qu'il n'y a pas de serveur F5000 en ligne. Pourriez vous vérifier svp ? Merci.

C'est good

Présent, pour rouler et fêter la victoire de Pescarolo aux 6 heures du Castellet !

Yves Plaçais wrote:

Présent, pour rouler et fêter la victoire de Pescarolo aux 6 heures du Castellet !

Présent moi aussi